Dans les contrées du bord de la forêt du maléfique en l’an 635
Un soulier oublié dans la forêt maléfique pris racine au pied d’un Chêne. Une petite ronce qui jouait et grandissait en ce même lieu ce prix d’amour pour lui.
Mais la ronce grandissait et le soulier restait.
Lors d’une promenade Epuop Tik « Gardien du temple Sadida » entendit des pleures, s’approchant du chêne il vit la ronce s’entortiller au tour du soulier.
Epuop Tik prit le temps d’écouter La ronce, « il se meurt en ce lieu» s’écria-t-elle. Que puis-je faire pour que notre amour perdure.
Epuop Tik lui expliqua que la nature était faite ainsi que le destin de la ronce était de conquérir les forêts, les chemins et que le soulier était destiné à rester ici.
« Mais n’y a-t-il rien à faire ».
« Malheureusement rien Petit Ronce répondit Epuop Tik .Mais le jour où je pourrais t’aider je me rapprocherais de toi et te ferai savoir ».
Puis Epuop Tik reprit son chemin afin de rejoindre le temple Sadida.
Touché par l’histoire de cette ronce il se rendit au centre du temple et demanda à Silimote Fougaris ce qu’il était possible de faire pour cette ronce et ce soulier.
Silomote lui rappela d’où il venait, et que cette Histoire se répète lorsqu’un Dofus éclos.
Silimote lui narra l’histoire des Sadida il comprit que lui aussi était venu au monde d’un amour impossible.
Silimote lui tendit une potion à base de sève de chêne mou et de rose maléfique « fais ce que tu as à
faire lui dit-elle »
Epuop Tik prit ces ronces à son cou et couru jusqu’au chêne en s’écriant « j ai la potion qui vous donnera vie et vous unira pour la vie ».
Celui-ci arrosa le soulier et la ronce, une étrangle fumée apparue pour laisser place à une graine qui s’enfonça dans le sol et donna vie en ce jour du 12 Novamaire 635 à La-DameBlanche.
La légende est donc vraie « la légende du soulier Sadida est une réalité ».
Depuis ce jour J’écume les chemins, sentiers arrosant toutes les plantes, les fleurs sur mon passage
Déciment bucherons, alchimistes et tous ceux qui ne respectent pas la nature.
Je me ressource au pied de l’arbre Sadida et le vénère jusqu’ a l aube.
Lors d’un voyage dans les landes de Sidimote je fus outrée par le manque de fleurs, d’arbre, de vie.
Quand j’eus atteint l’âge de 7 lunes je pris mon barda et entrepris un long et dur voyage refleurir Brakmar
non pas avec des fleurs et des plantes mais redonner de la vie à ces gens si ternes.
"chose impossible "
Au plus profond du temple se trouve un passage, un jour, curieuse je pris ce chemin « est-ce un Zaap, non je ne pense pas aller courage prend cette porte », destination inconnue un trou noir puis la lumière du jour, le soleil m’éblouit, « *vigilance* ou suis je »je retourne mes talons que vois-je « Ma statue de classe »
Saperlipopette Astrub est-ce le destin, le lieu des Mercenaires. Mon Dieu ma DragoDinde est épuisée, je regarde dans ma besace pas une truite pas un goujon rien que ni, je la supplie de tenir bon rien n’y font, le soin de ma DragoDinde ou devenir les Mercenaires.
Prends soin de ton animal tu reviendras plus tard me dis-je.
Je regardai la maison et m’écriai « je reviendrai, comptée sur moi ».
Je me retourne une dernière fois regarde la maison et prends le Zaap. De retour à Brakmar je mets ma DragoDinde aux enclos, la soigner me prendront au moins 3 lunes, pendant ce temps j'aurais le temps de me former.
J’obtins le parchemin mineur, le parchemin chasseur, et le parchemin forgeur de bâtons afin de me perfectionner je pris l’option Forgemagie.
Conquérante, armée de mon courage, de mes amis j'entrepris plusieurs voyages périlleux ne voyant pas les saisons passées.
j’atteins le cercle deux cents au bout de 24 lunes. Forte de cette réussite m’engageant dans la guilde Apocalypto je pris plaisir à aider autrui.
Ce plaisir m’était limité, pourquoi ne pas faire partager mon savoir.
Mar 11 Juin - 20:10